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kabyle: RT @EditionsAssimil: Langues, personnalité, comportement... est-ce que le fait de parler telle ou telle langue modifie notre façon... ht ...

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La Kabylie et les feux du désespoir

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Le feu et toujours le feu. Depuis avril 80, date à laquelle les Kabyles ont ouvert la bouche et brandi les bras, nos forêts et landes ne cessent de brûler. Chaque été, des feux criminels ravagent nos vergers. Les oliveraies, source vitale de centaines de familles, s’estompent peu à peu laissant derrière eux des paysages de désolation. Synchronisés et éparpillés, les feux ne donnent aucun répit à la flore locale. Sitôt les grandes chaleurs pointent le nez, les pyromanes de tous bords besognent sans relâches. Ils arrivent avec le sirocco. Ce même vent qui accompagna les tueurs de la Kahina.

Partout dans le monde, des feux se propagent et se déclarent pendant la période de canicule et de grande chaleurs mais chez nous, ça arrive trop souvent que ça ne peu être le fruit du hasard. Quelqu’un donne le signal pour le feu d’artifices criminels.

Bien sur qu’il y a quelques autochtones en mal de débroussaillage saisonnier qui s’adonnent à cette tradition plusieurs fois millénaire nommée « LANSLA ». Elle revient chaque année à la même date : le 07 juillet. Mais avant avril 80, date du premier soulèvement populaire postindépendance, cette tradition qui consistait à allumer le feu dans chaque verger était organisée et très surveillée. Le feu ne débordait presque jamais les haies. Le débroussaillage se faisait en famille et s’était juste pour marquer une tradition ancrée à ce jour dans la conscience de la Kabylie.

Aujourd’hui c’est une autre histoire. Personne ne voit les pyromanes et souvent, personnes ne voit les pompiers.

Si les brasiers se rallument trop souvent c’est que quelques parties, visibles ou invisibles, prennent plaisir à les voir se répéter et ce ne sont surtout pas les kabyles authentiques.

Il n’est plus permis de se taire devant une catastrophe écologiques qui touche la source vitale de toute une région : l’agriculture de montagne.

Avec le chômage, le banditisme, le terrorisme et la militarisation exagérée, il est quasiment sûr que l’ étouffement de la région, par le feu et le sang, provoquera sa mort à long terme ou à défaut abdiquer et renoncer à sa quête de la réappropriation identitaire. La spécificité kabyle disparaîtra et se mêlera, tête baissée, à la bergerie Algérie. A moins que…

Wisen Anwa


Kabylo-kabyles : nous sommes responsable de notre sort

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Pouvoirs, autoritarismes, culte de la personne, maître à pense (Gourou)...etc.

Depuis une certaine indépendance d'Algérie en 1962, nous les Kabyles, à la fois nous vivons et nous assistons à de différentes situations qui se succèdent (crise économique, social, de leadership et surtout de perte d'identité). Des crises certes nationales, mais très accentuées en Kabylie ou nous battons tous les records. Sans gêne et sans honte, nous osons dire encore que nous sommes les meilleurs. Même notre nombril est gêné de se faire admiré autant, et ce sans raison. Depuis une certaine indépendance d'Algérie en 1962 à ce jour, les affaires de la Kabylie sont restées suspendues, sans solutions et sans propositions. Tous les Partis et Mouvements Kabyles censés défendre ses intérêts se sont d'abord servis, après avoir marchander sa valeur «politique» pour mieux l'écraser. Certains avec autoritarisme, d'autres en essayant de développer un culte de la personne et d'autres en jouant au gourou. Mais tous l'ont vendu a leur manière selon leurs intérêts.

Depuis une certaine indépendance d'Algérie en 1962 à ce jour, les affaires de la Kabylie sont en attente, tant sur le plan politique, économique, social et surtout culturel. Aucun projet d'avenir, même chez ceux qui dénoncent l'absence de l'Etat dans ce domaine. Tous les dirigeants et les responsables des Partis et Mouvements Kabyles censés défendre ses intérêts investissent pour certains à l'étranger et pour d'autres dans d'autres régions d'Algérie. La Kabylie leur sert uniquement de bastion électoral pour venir briguer des mandats, car ils sont incapables de se faire élire en dehors de cette région meurtrie et martyrisée par leurs comportements.

Non la faute n'incombe pas aux citoyens Kabyles, mais bel et bien à tous ces Partis et Mouvements Kabyles et leurs dirigeants et responsables qui donnent des leçons et deviennent des malades qui veulent soigner des bien portants et des égarés, des voyous, des traîtres qui veulent désorienter ceux qui sont accrochés à la région.Beaucoup d'esprits bienveillants nous rappellent à l'ordre afin de nous souvenir, pendant que d'autres nous intiment l'ordre de nous endormir. Tous ces Partis et Mouvements Kabyles, leurs dirigeants et responsables sont spécialistes dans l'art de se remplir les poches (certains sur le territoire national, d'autres au nom de tous les kabyles à l'étranger).

Comme les tenants du pouvoir, ils ont acquis l'art de la manipulation. Ils excellent aussi dans la course à la marchandisation de la Kabylie.On ne se rappellera jamais assez que les Kabyles ont été gérés par des Partis et Mouvements Kabyles, tant en Kabylie qu'à l'étranger. Ces représentants «fantômes», qui pour certains autoproclamés ont méprisés la population Kabyle, souvent en les faisant opposés les une aux autres. Ils ont développer la haine parmi les populations avec des fausses promesses et informations. Leur échec est sur le terrain, aucun d'eux n'a réussi à s'enraciner auprès de la population, par contre ils s'affaiblissent par leur action, souvent inutiles et désordonnées. Ils ont réussi une action, la seule à leur actif: celle de vider l'esprit du Kabyle de la revendication et le décourager de toute action politique. Leur échec se constate par le développement et l'enracinement de leurs ennemis

Ces comportements de mépris des populations kabyles exercés par les Partis et Mouvements Kabyles sont avant tout un mépris de soi et de ses origines. Le font-ils exprès? Sont-ils malades à ce point? Sont-ils aveugles au point de ne voir que leur nombril? Sont-ils rongés par la mégalomanie? Enfin sont-ils conscients ou inconscients? Leur adhésion à la corruption aggrave la situation désastreuse de la Kabylie et de ses populations. Leurs comportements et agissements rendent intenable et insupportable la situation des populations, mais évitent la faiblesse de l'Etat , surtout par leur manque de vision concrète et réaliste pour la société Kabyle en particulier et algérienne en général. Leurs agissements menacent l'existence des fondements de la société amazighe Nous faisons face à une situation catastrophique sur plusieurs plans ( éducation, justice, santé, libertés, identitaire...etc. Pourrions-nous un jour en finir avec la corruption, le chaos et l'anarchie qui règne?.

Les seules manifestations qui se déroulent à répétition en ce qui concerne la culture et l'identité amazighes, ce sont des manifestations folkloriques sur le terrain et de frustration sur le Net, ou tous les Kabyles s'expriment en français ou en Arabe. Leur seule expression en Tamazight se résume à se nommer amazigh, Jugurta, kahina...etc. Très souvent d'ailleurs leur manifestation sur le net consiste à nous présenter le drapeau amazigh sous toutes ses facettes , comme pour se convaincre de ce qui sont. Il est temps de distinguer un chat noir même dans la nuit.

Oui les Partis et Mouvements kabyles bloquent et empêchent toute évolution en Kabylie par leurs chicanes et discordes permanentes; je dirais en exagérant un peu qu'ils transforment la Kabylie en un hôpital psychiatrique à ciel ouvert. Le temps est venu pour que les discours soient suivis d'actes. D'ailleurs la Kabylie à besoin de ses enfants qui luttent sur son territoire. Finis les donneurs de leçons, finis les Zaïms et les Gourous. Il est temps à chacun et chacune de reconnaître ses erreurs. Pour ceux qui se réclament de la légitimité historique de l'amazighité, la nouvelle génération est prête à leur concéder «Le Statut d'Anciens Combattants de l'Amazighité», à condition qu' ils cèdent leurs places sans prolonger le conflit générationnel. Chacun de nous à sa part de responsabilité. Nous sommes responsables de notre sort. Fini la victimisation et la responsabilisation de l'autre.

Arav Ben Younès

source

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Le festival du cinéma jeune public prend son envol en Kabylie

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L’association culturelle Ciné+ (Timezrit, Algérie), oeuvre sans relâche depuis 10 ans, à la formation de jeunes Algériens aux techniques cinématographiques (écriture de scénarios,
réalisation, production, diffusion), pour démocratiser les valeurs fondamentales de la culture, mettre à l’honneur la tolérance et l’ouverture d’esprit, avec le soutien précieux
du Cinema Le France (St Etienne, France).

L’association Ciné+ vient de clôturer son premier Festival du cinéma jeune public en Algérie « L’envol de la cigogne» (ASRIFEG N’UBLLIREG), qui s'est déroulé du 18 au 20 Juillet 2012 dans la commune de Timezrit en Kabylie.

En différents lieux de Timzerit (salles et sites de plein air), des projections de films étaient proposés à tous les publics : dessins animés, courts et longs métrages.

La programmation du festival était structurée en trois catégories d’âges: moins de 10 ans en matinée à partir de 10h, de 10 à 15 ans à 18h, et à 21h30 chaque soir en plein air, pour des séances familiales.
 
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kabyle: Le festival du cinéma jeune public prend son envol en Kabylie: L’association culturelle Ciné+… http://t.co/Dg1LLsch

Tigzirt honore ses lauréats

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A travers les autorités locales, c’est toute la population de Tigzirt qui a tenu à honorer les meilleurs de ce qu’elle a enfanté. Les représentants du chef de daïra, de la protection civile, de la gendarmerie nationale, de la sureté de daïra ont tous tenu à se joindre à l’initiative du président de l’APC de Tigzirt qui a voulu partager le bonheur  des meilleurs élèves des quatre établissements scolaires de la ville( deux collèges et deux lycées).

En effet, les autorités ont convié les trois premiers reçus, de chaque établissement, aux examens de fin d’année, à savoir le BAC et le BEM à une réception qui s’est déroulée dans l’enceinte de l’ancienne salle de cinéma de la ville.

« Nous tenons avec nos modestes moyens vous honorer, vous qui avez réussi dans vos études, vos parents ainsi que l’ensemble des travailleurs des établissements scolaires qui vous ont accompagné durant vos cursus  » a tenu à annoncer Mr le président de l’APC  de Tigzirt dans son allocution d’ouverture. « Vous êtes la fierté de notre région et nous vous en sommes reconnaissants » ajoute t-il.

Et ils étaient tous là, beaux et heureux de la reconnaissance que leur offrent les adultes.

Nous citerons pour l’exemple Akretch Wissam du collège medjber avec une note de 18.67 au BEM et une moyenne de 19.50 pour son admission dans une école d’excellence implantée a Alger. Elle a eu 20/20 en mathématique. Wissam est classée parmi les trois premières moyennes à l’échelon national. Ses parents ont tenu à marquer de leur présence cette fête. Nous signalons qu’elle a été conviée avec d’autres lauréats, à un diner d’honneur avec Mr le wali de Tizi ouzou et qu’elle a reçu,  à cette occasion, un PC portable. Elle semble comblée avec son sourire naïf, elle la timide.

Meziani Melissa du collège nouveau a décroché son examen avec une moyenne sans appel de 18.54.

Pour les candidats au BAC, notons le résultat exceptionnel de l’élève Medjber Kahina du lycée Amar Bessalah avec une note inégalée de 16.99 suivie de sa camarade Azrou du lycée Amar Toumi avec une note de 16.45. Accompagnée de sa vieille mère, Kahina medjber dégageait de la grandeur dans son petit corps d’adolescente.

Après la distribution des diplômes d’honneur et cadeaux aux heureux lauréats, l’assistance est conviée à une réception autour de gateaux et limonades en tous genres. C’est alors que les flashs des appareils photos crépitent de bout en bout de la salle pour mieux immortaliser cet événement exceptionnel pour une génération au firmament de la réussite. Nous espérons seulement que ce genre d’événement se répète chaque année.

Pour le P/APC, la réussite de cette réception est rendue possible par le concours de généreux sponsors. Nous citerons entre autres mr Aknouche, les établissements Doudah, Sensar et Zaiache. Qu’ils en soient tous remerciés.

Benamghar Rabah

Avec le Maire de Tigzirt

Akretch, Meziani, Medjber et Azrou

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Edition locale: 

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kabyle: RT @stephanearrami: Judéo-berbère - Fiche dictionnaire amazigh interactif TIFIN http://t.co/QdUQcf1K

Samir Talmat - La sirène enchantée

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Dans son dernier opus composé de huit chansons, SAMIR TALMAT revient cinq ans après son premier album pour nous présenter une œuvre acoustique et poétique remarquable où le rythme et le verbe se conjuguent au parfait. Tantôt il vous berce tantôt il vous fait vibrer. Il en a fait pour tous les goûts.

L’artiste, originaire du village Issenadjen, qui surplombe les baies d’avechar et de Tamda Ouguemoun (deux plages recommandées pour une échappée  estivale), interprète une foultitude de thèmes avec des airs rythmés. Dans cet album, Samir revisite l’amour et ses turpitudes. Ses amertumes et ses souffrances.

Il parle de l’immigration et son corolaire : la séparation. Il parle de ses amours impossibles et déchantées.  Comme dans ses premiers pas, il avantage le verbe au son même s’il a fait beaucoup d’efforts dans le domaine musical. Des sons bien tressés autour de thèmes variés.



Ses textes plaident pour des serments de fidélité en amour et semble abjurer les alliances factices et sans attachement  réel. Et il le dit si bien dans l’une de ses chansons intitulée « amniyi ». Il s’adresse à une dulcinée lointaine dans un message codé en puisant dans le secret de la déclamation des anciennes gloires kabyles à l’imagine de cheikh El hasnaoui et autres.

Dans le temps, la relation amoureuse ostensible ne se conjuguait pas au kabyle. C’était l’anathème et l’opprobre sur ceux qui osaient affichaient  leurs sentiments envers les femmes. Aujourd’hui que les noces sont levées sur le monde inaccessible de l’amour, tout un chacun s’égosille à le dire.

Comme tous les artistes partis loin du pays qui les a vu naître, il clame tout haut que la vie hors de chez lui est une blessure béante. Il le dit si bien pour sa bien aimée réelle ou imaginaire que s’il avait à choisir son port d’attache, il choisirait sa Kabylie natale et ainsi vivre auprès des siens. Il vante les attirances de nos traditions et le savoir vivre de nos aïeux avec fierté. Contrairement à  certains, il invite les autres à venir à la découverte de nos richesses multiples. C’est ce qu’il raconte avec le premier titre «Fransa ». Sinon pour conjurer le mauvais sort, il implore saints et temples dans sa quête de quiétude, de plénitude et de bien-être. A l’entendre, on devine facilement les souffrances d’un artiste coincé entre les dents d’une même tenaille : l’envie de vivre le présent, habillé d’us et coutumes ancestraux et la tentation d’une mondialisation faucheuse de spécificités culturelles.

Et pour mieux le connaitre nous l’avons approché lors du tournage d’un clip avec MizranaProduction pour un entretien express.

Azul Samir,  après un silence de cinq années, parlez-nous de ce nouvel album

Samir Talmat : Effectivement j’ai pris beaucoup de temps pour réfléchir à ce qui me conviendrait comme style. Je voulais mûrir mon genre artistique afin de mieux percer dans un monde musical saturé. Et puis vivre sa vie familiale et artistique n’est pas chose aisée vue que nous les kabyles nous ne vivons pas de notre art.

On sent dans vos texte une certaine amertume, pourquoi ?

C’est le contexte actuel qui fait que nous ressentons les bouleversements de notre société de la même façon que la jeunesse et le public par lequel nous existons. Franchement le cœur n’y est plus. Si je continue à chanter c’est par amour à la chanson sinon…

Votre album se situe à mi-chemin entre le non-stop et le classique kabyle n’est-ce pas ?

J’essaie de répondre aux attentes de mes différents publics tout en restant dans mon style. Quand j’ai vu la réaction du public à Azzeffoun dans le cadre du festival "arabo-africain", je suis vraiment comblé. Ca prouve que ce que je fais répond parfaitement à l’attente de notre jeunesse. Plus de trois milles personnes ont chanté et dansé avec moi. J’étais en parfaite symbiose avec eux.

Où en est la chanson kabyle aujourd’hui ?

Elle est à l’image de notre jeunesse, le son intéresse mieux que le verbe. Elle veut chanter et danser et ainsi se défouler pour oublier les aléas d’une crise multiple.

Des projets ?

Je viens de terminer un clip vidéo avec MizranaProduction. Sinon je projette de me produire un peu partout en Kabylie durant et après le mois de carême.

Le mot de la fin

Je vous remercie beaucoup pour cette attention que vous portez aux artistes qui n’ont pas de gros moyens pour communiquer. Je lis quotidiennement votre journal Kabyle.com et je m y retrouve surtout quand je suis hors du pays.

Bgayet - 440 hectares ravagés par les feux de forêt

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Plus de 440 hectares ont été ravagés par les flammes durant la première semaine du mois en cours dans la wilaya de Béjaïa. La Conservation des forêts de la wilaya de Béjaïa a enregistré en effet 36 feux de forêt, du 1er juin au 7 juillet en cours, et 53 incendies depuis le début de la saison estivale dans les quatre coins de la wilaya. Durant le week-end du 28 au 29 juin, pas moins de 150 ha de végétation ont été ravagés par les flammes à Akbou et 110 ha à Béni K’sila. Le mercure avait atteint les 42° pendant plusieurs jours. Les communes qui ont été touchées sont celles d’Akbou, Souk El Tenine, Béjaïa, El-Kseur, Adekar, Tamridjeth, Ouzellaguene, Sidi-Ahmed, Béjaïa et Aïth Smaïl. Les causes de ces incendies ne sont toujours pas connues, selon le conservateur, mais sont étroitement liées aux grandes chaleurs ainsi qu’à la négligence ou maladresse de certains. Ces derniers jours, pas moins de cinq incendies se sont déclarés à Adekar, Darguina, El-Kseur, Béni Ksila. Dans la commune de Seddouk, des milliers de vergers ont été détruits par le feu. Pas moins de 29 incendies se sont déclarés dans cette commune depuis le début de l’été. Un total de 12 ha d’arbres fruitiers a été ravagé par le feu. On parle de 1 200 d’oliviers,

100 figuiers, des centaines de caroubiers et autres arbres fruitiers et cultures.

Hocine Cherfa

Source: 
Le Jour d'Algérie
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Tailleurs de pierre en Kabylie

kabyle: La Sirène enchantée de Samir Talmat: Tweet Dans son dernier opus (Sirène enchantée) composé… http://t.co/eiSB3x7b

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