
Chaque espèce avait des dons multiples et recherchait l’admiration du plus grand nombre. Une rude concurrence s’installait pour savoir qui allait avoir des oisillons obéissants, futés et instruits, volant très haut dans les cieux, picorant goulûment sur le sol. Ils aimaient s’adapter à toute circonstance comme le fer rougi s’arrondit en pièces sous les coups du forgeron. Mais c’est surtout la maîtrise du chant, l’adresse dans les gammes qui faisaient la différence.